THÉÂTRE D'OMBRES ET DE SILHOUETTESLE PINCEAU MAGIQUE
paroles de Ann Rocard – musique de Gérard Legoupil
chancon adaptée au théâtre d'ombres par Nicolas AUBERT
Ombres libres de droits
pinceau magique
Pour toute représentation de cette chanson en public,
merci de bien vouloir contacter l'auteure sur son site :
(une vraie mine dor...)
http://www.annrocard.com/
(L'écran s'allume et les différents pinceaux sont en place -sans décor : l'écran est vide en dehors des pinceaux. Ils vont danser le temps du refrain. Ils montent et ils descendent, comme s'ils peignaient -tout au moins, leur manipulation ne doit pas évoquer une danse- jusqu'à "danser". A partir de là, il dansent en suivant le rythme de la musique.)
refrain :
Avec un pinceau magique,
on ferait n’importe quoi !
C’est le rock acrobatique
des habitants du grand bois.
Oui, grâce au pinceau magique,
on peut danser sans arrêt.
C’est le rock acrobatique,
c’est le rock de la forêt !
(Les décors et les fleurs sortent du sol en même temps -On pourra de contenter d'un seul modèle de fleurs : par exemple en réalisant cinq ou six tulipes de couleur différente. Elles onduleront au rythme de la mélodie. On essaiera de ne pas faire bouger leur base de manière à simuler de vraies fleurs, comme si elles étaient fixées au sol. Les ombres des fleurs seront en couleur. Les décors resteront en place jusqu'à la fin de la chanson.)
1- Si les fleurs ont la bougeotte,
il ne faut pas s’inquiéter.
Et si les couleurs gigotent,
il suffit de répéter :
(Le pinceau fin -On pourra prendre les trois pinceaux.- entre sur l'écran par le bas, sur un côté. Il touche les fleurs qui quittent le sol, sautillent et dansent de manière vive tout le long du refrain. Des papillons colorés viennent danser sur les fleurs.)
refrain :
Avec un pinceau magique,
on ferait n’importe quoi !
C’est le rock acrobatique
des habitants du grand bois.
Oui, grâce au pinceau magique,
on peut danser sans arrêt.
C’est le rock acrobatique,
c’est le rock de la forêt !
(Les papillons sortent par les côtés ou vers la lumière. Les fleurs sortent en s'enfonçant dans le sol. Les animaux arrivent sur l'écran par le même chemin. Les animaux se déplacent d'un côté à l'autre de l'écran, dans un mouvement d'ensemble. Ils pourront le faire à reculons, penchés en avant ou en arrière... L'impression de groupe et d'ensemble est le mot d'ordre du couplet.)
2- Si les animaux ravis
dansent de tous les côtés,
tout le jour, toute la nuit,
ce n’est pas très compliqué.
(Au refrain, les pinceaux touchent les animaux. Chaque animal joue alors un jeu indépendant et différent des autres : l'un bondit, un autre fait des ronds, un autre monte et descend en zig-zag... Plus les effets seront variés et meilleurs ils seront.)
refrain :
Avec un pinceau magique,
on ferait n’importe quoi !
C’est le rock acrobatique
des habitants du grand bois.
Oui, grâce au pinceau magique,
on peut danser sans arrêt.
C’est le rock acrobatique,
c’est le rock de la forêt !
(A la fin du refrain, les animaux sortent ensemble d'un côté tandis que les passants entrent de l'autre, ensemble également.
Les passants avancent à la queue leu leu, dans l'ordre un homme, une femme, un homme, une femme. L'ordre une femme, un homme... reste, bien évidemment, possible. Un personnage sur deux se retourne afin de simuler une conversation avec celui qui le suit.)
3- Si les passants gesticulent
au fin fond de la forêt,
ils ne sont pas ridicules
et ils n'ont pas le hoquet.
(Pour le dernier refrain, les passants, touchés par les pinceaux- optent pour un jeu plus individuel. On pourra faire revenir sur l'écran des fleurs et des animaux dans un ensemble très visuel, même s'il n'est pas très respectueux des proportions...)
Ombres de Nicolas AUBERT, libres de droits
Décor
pinceau
pinceau
pinceau
tulipe
rose
tournesol
