SCÈNE IV
HARTZ ET AKER
Rackham
AKER, le bouc, arrive et s'arrête face à Hartz. - Meee ! Meee ! (prononcer mèèè) Pousse-toi ! Pousse-toi ! Je suis pressé ! Laisse-moi passer !
HARTZ. - Kronf ! Mais de quoi as-tu peur, Aker ?
AKER. - Meee ! Meee ! De quoi j'ai peur ? Tu me demandes de quoi j'ai peur ! Mais, Hartz, j'ai peur d'Arotza ! Il a attrapé toute ma famille et il a enfermé tout le monde dans un pré. Il vole le lait de mes chèvres, il vole mes enfants, et lorsque nous sommes beaux et forts, il nous mange !
HARTZ. - Kronf ! Il vous mange ? J'ai peur pour ma famille, Aker...
AKER. - Meee ! Meee ! Laisse-moi passer ! Je suis pressé. Je dois m'éloigner d'Arotza.
HARTZ. - Kronf ! Tu fuis Arotza ! Aide-moi plutôt à le détruire. Il a enlevé mes parents, mes frères et mes sœurs et la plupart des membres de ma famille. Je le cherche pour l'écraser entre mes pattes. Si tu viens avec moi, à deux, nous serons plus forts qu'Arotza.
AKER. - Meee ! Meee ! Comment ? Revoir Arotza ! J'ai bien trop peur !
HARTZ. - Kronf ! Alors, dis-moi au moins comment il est car je ne l'ai jamais vu. Je ne connais de lui que son nom.
AKER. - Meee ! Meee ! Comment ? Tu ne connais pas Arotza ? Il est immense. Il a une peau qui n'a pas de poils et il tient toujours une longue corde dans la main lorsqu'il s'approche de toi.
HARTZ. - Kronf ! Quel animal étrange !... Est-il plus grand que moi ?
AKER. - Meee ! Meee ! Il va venir ! Meee ! Meee ! Il va venir ! (Le bouc s'enfuit).
HARTZ. - Kronf ! Reviens, Aker, reviens ! Trop tard ! Il est parti ! Mais j'aperçois quelqu'un qui vient...
SCÈNE V
HARTZ ET ZALDI
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ZALDI, le cheval, arrive et s'arrête face à Hartz. - Hiii ! Hiii ! Pousse-toi ! Pousse-toi ! Je suis pressé ! Laisse-moi passer !
HARTZ. - Kronf ! Mais de quoi as-tu peur, Zaldi ?
ZALDI. - Hiii ! Hiii ! De quoi j'ai peur ? Tu me demandes de quoi j'ai peur ! Mais, Hartz, j'ai peur d'Arotza ! Il a attrapé toute ma famille et il a enfermé tout le monde dans une écurie. Il nous attache et nous fait tirer des voitures. Il monte même sur notre dos.
HARTZ. - Kronf ! Il vous attache ? J'ai peur pour ma famille, Zaldi...
ZALDI. - Hiii ! Hiii ! Laisse-moi passer ! Je suis pressé. Je dois m'éloigner d'Arotza.
HARTZ. - Kronf ! Tu fuis Arotza ! Aide-moi plutôt à le détruire. Il a enlevé mes parents, mes frères et mes sœurs et la plupart des membres de ma famille. Je le cherche pour l'écraser entre mes pattes. Si tu viens avec moi, à deux, nous serons plus forts qu'Arotza.
ZALDI. - Hiii ! Hiii ! Comment ? Revoir Arotza ! J'ai bien trop peur !
HARTZ. - Kronf ! Alors, dis-moi au moins comment il est car je ne l'ai jamais vu. Je ne connais de lui que son nom.
ZALDI. - Hiii ! Hiii ! Comment ? Tu ne connais pas Arotza ? Il est très grand. Il a des sabots en peau de vache et il tient toujours une longue corde dans la main lorsqu'il s'approche de toi.
HARTZ. - Kronf ! Quel animal étrange !... Est-il plus grand que moi ?
ZALDI. - Hiii ! Hiii ! Il va venir ! Hiii ! Hiii ! Il va venir ! (Le cheval s'enfuit).
HARTZ. - Kronf ! Reviens, Zaldi, reviens ! Trop tard ! Il est parti ! Mais j'aperçois quelqu'un qui vient...
SCÈNE VI
HARTZ ET ZEZEN
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ZEZEN, le taureau, arrive et s'arrête face à Hartz. - Muuu ! Muuu ! Pousse-toi ! Pousse-toi ! Je suis pressé ! Laisse-moi passer !
HARTZ. - Kronf ! Mais de quoi as-tu peur, Zezen ?
ZEZEN. - Muuu ! Muuu ! De quoi j'ai peur ? Tu me demandes de quoi j'ai peur ! Mais, Hartz, j'ai peur d'Arotza ! Il a attrapé toute ma famille et il a enfermé tout le monde dans une étable. Il prend le lait de mes femmes et il mange mes fils. Il nous fait même tirer sa charrue.
HARTZ. - Kronf ! Il vous enferme ? J'ai peur pour ma famille, Zaldi...
ZEZEN. - Muuu ! Muuu ! Laisse-moi passer ! Je suis pressé. Je dois m'éloigner d'Arotza.
HARTZ. - Kronf ! Tu fuis Arotza ! Aide-moi plutôt à le détruire. Il a enlevé mes parents, mes frères et mes sœurs et la plupart des membres de ma famille. Je le cherche pour l'écraser entre mes pattes. Si tu viens avec moi, à deux, nous serons plus forts qu'Arotza.
ZEZEN. - Muuu ! Muuu ! Comment ? Revoir Arotza ! J'ai bien trop peur !
HARTZ. - Kronf ! Alors, dis-moi au moins comment il est car je ne l'ai jamais vu. Je ne connais de lui que son nom.
ZEZEN. - Muuu ! Muuu ! Comment ? Tu ne connais pas Arotza ? Il est très grand. Il n'a pas de cornes sur la tête et il tient toujours un grand marteau dans la main lorsqu'il s'approche de toi.
HARTZ. - Kronf ! Quel animal étrange !... Est-il plus fort que moi ?
ZEZEN. - Muuu ! Muuu ! Il va venir ! Hiii ! Hiii ! Il va venir ! (Le taureau s'enfuit).
HARTZ. - Kronf ! Reviens, Zezen, reviens ! Trop tard ! Il est parti ! Mais j'aperçois quelqu'un qui vient...
SCÈNE VII
HARTZ ET AROTZA
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AROTZA, le menuisier, arrive et s'arrête face à Hartz. - Pousse-toi ! Pousse-toi ! Je suis pressé ! Laisse-moi passer !
HARTZ. - Kronf ! Mais de quoi as-tu peur, Langilea ?
AROTZA. - De quoi j'ai peur ? Tu me demandes de quoi j'ai peur ! Mais, Hartz, j'ai peur d'Arotza ! Il m'oblige à faire du mal aux autres.
HARTZ. - Kronf ! Il t'oblige à faire du mal ? J'ai peur pour ma famille, Langilea...
AROTZA. - Laisse-moi passer ! Je suis pressé. Je dois m'éloigner d'Arotza.
Nicolas AUBERT
FIN